Lionel BOTTEREAU

Road trip en Europe

Road trip en Europe :
A/R Versailles-Dubrovnik

Sur la route

Une boucle de 4500 kms à 5 en famille, dans un  Dacia Jogger Gpl au mois d'août et toujours avec mon appareil photo :

 

Une expérience inoubliable !

L’itinéraire :

1° jour : Versailles – Salzburg 1000 kms

2° jour : Salzburs – Dubrovnik 1000 kms

3-4 jours de visite de Dubrovnik

6° jour : Dubrovnik – Split 250 kms

2 jours de visite de Split

1 jour pour le parc national de Krka (Keurka)

9° jours : Krka – Vérone 690 kms

1 jour de visite de Vérone / Lac de Garde

11° jour Le lac de Garde – Lac de Côme 150 kms

2-3 jours de visite près du lac de Côme

14° jour : Lac de Côme – Chalon sur Saône 580 kms (via le tunnel du Mont Blanc)

15° jour : Chalon sur Saône – Versailles 350 kms

Ville fortifiée de Dubrovnik

La famille part donc pour un road trip de quinze jours à travers l’Europe, une escapade qui promet découvertes et souvenirs inoubliables.

Notre périple débute à Versailles, sous un ciel couvert, on traverse l’est de la France, l’Allemagne vers Munich et l’Autriche.
Première étape : Golling après Salzbourg, en Autriche. Après une journée de route, nous arrivons dans ce village calme pour une nuit de repos.

Le lendemain, nous prenons la route pour rejoindre Dubrovnik, en Croatie. Le trajet est long, mais les paysages montagneux de la Slovénie et les vues sur la mer Adriatique en valent la peine. Après quelques arrêts pour admirer le panorama, nous atteignons enfin Dubrovnik. Entourée de murailles impressionnantes, la ville se dévoile à nous dans toute sa splendeur. Nous passons trois jours à explorer la vieille ville, se promenant sur les remparts et profitant des eaux cristallines des plages environnantes. Les ruelles pavées, l’architecture médiévale et l’histoire fascinante du lieu captivent toute la famille.

Nous quittons Dubrovnik pour Split, l’autre perle croate située un peu plus au nord.
Ici, nous découvrons le palais de Dioclétien, un site antique superbement préservé. La famille se détend et goûte aux spécialités locales, profitant du rythme plus calme de cette ville côtière.

Après Split, une étape dans le parc national de Krka, un poumon vert dans la torpeur croate, les cascades et un monastère sur les bords de la rivière.
Nous reprenons la route en direction de Vérone, en Italie. Les enfants sont impatients de voir le fameux balcon de Juliette, le charme avec ses arènes romaines, la ville et ses places animées. Nous passons la soirée à flâner, savourant une glace italienne tout en admirant la douceur de vivre de cette ville romantique.

Le jour suivant, nous prenons la direction du lac de Garde, où nous passons la matinée à explorer le petit village de Sirmione, et son fort, qui borde le lac. La nature environnante et les eaux paisibles offrent un contraste bienvenu après les visites urbaines.

Nous continuons ensuite vers le lac de Côme, où la beauté des montagnes et l’élégance des villas nous émerveillent. Une croisière sur le lac nous permet d’admirer les paysages pittoresques près de Bellagio, un moment de pure détente avant la dernière ligne droite.

Le voyage se poursuit vers Chalon-sur-Saône, en France via le tunnel du Mont Blanc, où nous passons la dernière nuit de notre périple. Nous en profitons pour nous promener en ville sous l’orage, et se faire un cinéma en famille.

Enfin, après deux semaines riches en découvertes et en émotions, la famille retrouve son chat, les têtes pleines de souvenirs.

Cascades de Krka
Cascades de Krka

Remarques :
* Quelques jours de préparation à mon épouse pour boucler les étapes et visites.
* Les vignettes pour les autoroutes autrichiennes et slovènes en poche.
* Le pique-nique, les 5-6 gourdes d’eau pleines, la glacière pour le voyage aller pour ne pas perdre trop de temps et éviter les repas d’autoroute.
* Un Dacia Jogger 7 places Essence et Gpl (200 kms seulement au Super), presque 11 pleins de Gpl.

* Plus de 20°C d’écart entre Versailles et Dubrovnik (un peu plus de 40°C à l’ombre), et toujours le même écart sur le retour.

* Plus de 1000 photos (appareils photos et smartphones) à trier et développer.

Lac de Garde, Italie
Lac de Garde

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Accueil BCG

Summer School @BCG

@bcg

Summer School 2024 @BCG

Début juillet, le BCG avait le plaisir d’accueillir dans ses locaux plus de 80 lycéens, étudiants et entrepreneurs, sélectionnés par les associations et organismes partenaires Télémaque, Article 1, Proxité, Positiv, Do Well Do Good, Fondation Florence et Espérance banlieues pour participer à une semaine de découverte et/ou d’approfondissement des différents enjeux liés à l’entreprise.
Au programme de ces quatre jours : des ateliers et conférences pour développer leurs compétences non académiques (prise de parole en public, structurer sa pensée, etc.), aborder les grands enjeux de société comme l’
IA et le climat et découvrir le métier de consultant en stratégie.
Parmi les nouveautés de cette deuxième édition : une journée consacrée à la découverte des locaux et des fonctionnements de grandes entreprises et start-ups.

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Le cri de la Libellule

Gardons les festivals de musiques de l’été

Gardons les festivals de musiques de l’été

Profiter de l’été et de ses nombreux festivals partout en France.

Les festivals de musique sont des vecteurs essentiels de diversité culturelle. Ils offrent une plateforme aux artistes, qu’ils soient émergents ou établis, pour partager leurs œuvres avec un large public. Ces événements permettent de découvrir de nouveaux genres musicaux et de promouvoir des traditions musicales souvent ignorées par les médias grand public. En soutenant les festivals de musique, nous préservons notre patrimoine culturel et encourageons la création artistique.

Les festivals de musique jouent un rôle important dans la cohésion sociale. Ils rassemblent des personnes de différents horizons autour d’une passion commune, favorisant ainsi l’échange et l’ouverture d’esprit. Ces événements sont souvent des moments de convivialité et de partage qui renforcent le lien social. De plus, ils peuvent être un espace d’expression pour les jeunes, leur offrant une alternative positive et constructive à d’autres activités moins bénéfiques.

D’un point de vue économique, les festivals de musique génèrent des revenus substantiels pour les régions qui les accueillent. Ils attirent des touristes, créant ainsi des retombées économiques pour les hôtels, les restaurants, et les commerces locaux. Les festivals créent également des emplois temporaires, allant de la logistique à la sécurité en passant par la restauration. En investissant dans les festivals de musique, on soutient l’économie locale et nationale.

En somme, sauvegarder les festivals de musique est vital pour maintenir une riche vie culturelle, renforcer le tissu social et stimuler l’économie. Ces événements apportent une multitude de bénéfices qui dépassent largement le cadre de la simple performance musicale. Ils sont un investissement dans l’avenir culturel et économique de nos communautés.

Je tenais à remercier l’association de St Michel sur orge “Le Cri de la Libellule” pour sa confiance lors du 18° festival Rock’in Kiosque.
Au programme de cette année étaient présents cinq groupes talentueux que vous retrouverez sur les réseaux : Cinetiqua, WiGo, Nouriture, Back in the city et pour finir Harold

Le cri de la Libellule

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Et si on allait au concert …

Möön, concert Le Cri de la Libellule, “Le son dans l’Elles” le 2 mars 2024 à St Michel sur Orge

Changement d’ambiance, du rock, des filles. Donc une belle occasion de faire des photos.

Ce samedi 2 mars en soirée, elles étaient à l’honneur sur la scène du Centre Culturel Baschet à St Michel sur Orge.

L’association Le Cri de la Libellule organisait ce concert féminin avec des artistes féminines de l’Essonne.

Il y avait Sexy Truck, du rock’n’roll sexy solo à la guitare, les Vanessee Vulcane avec ses compositions folk anglophone originales, et pour finir le groupe Möön avec de l’electropop, groupe prometteur.

N’hésitez à vous renseigner pour avoir plus d’informations sur les concerts du Cri de la Libellule.
Mais surtout soyez curieux, près de chez vous il se passe sûrement quelque chose.

Soutenons les spectacles vivants.

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Ma photo de profil ?

Cette question peut revenir le matin en se regardant dans le miroir.

Mais depuis quand j’ai la même photo sur mon profil pro ou dans la photothèque de la société pour laquelle je travaille ?

Nous évoluons, les équipes également, et nous pouvons garder la même photo plusieurs années.

Je peux vous accompagner dans ce changement avec une séance photo durant laquelle nous penserons et réaliserons votre nouveau portrait.
Contactez moi au plus vite

Mon livre blanc sur le portrait corporate

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Ombres et Lumières

Jeux d’ombres, Jeux de lumières

Expositions de photographies à l'Université Ouverte de Versailles

Versailles-Images présente “Jeux d’ombres, Jeux de lumières”.
L’exposition de photographies a lieu à l’Université Ouverte de Versailles (3 impasse des gendarmes à Versailles) du 15 novembre au 17 décembre 2021, du lundi au vendredi de 9h à 17h et samedi de 9h à 12h.

Venez nombreux

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Masterclass Studios Harcourt

Que faire avec la COVID ? /2

Que faire en ces temps de COVID et de confinements ?

Je le disais dans le post précédent, cela fait un an maintenant que nous sommes tous contraints par une crise sanitaire majeure.
J’abordais le fait de se former pour rester en permanence en contact avec les différentes évolutions, autant numériques, matériels que sociales :
– Le marketing (prospects, clients, ventes etc …), tous les supports existent aujourd’hui (livres, Youtube, etc …)
– Mais aussi la formation par la pratique …

Ce sera le sujet du jour

A l’occasion de mon cadeau de Noël dernier, mon épouse a eu l’idée géniale de trouver une Masterclass de prise de vue, avec en thème principal : Le Portrait.
Et bien sûr, une évidence pour moi, ce fût dans le cadre prestigieux du Studio Harcourt à Paris.
Longtemps reporté pour cause de confinement, j’ai pu enfin participé à ce stage encadré par Xavier Gary et son assistant.

Le Studio Harcourt à Paris

Cette institution a été créée dans les années 30 à Paris, les années folles et l’âge d’or du cinéma français, la marque Harcourt s’impose rapidement comme une signature incontournable.
Le style Harcourt est devenu un gage d’éternité, toutes les personnalités artistiques, culturelles et politiques du XX° siècles sont passées par ce studio, souhaitant ainsi défier le temps qui passe. 

Cette masterclass fut donc accompagnée par Xavier Gary, photographe Harcourt depuis plus de 20 ans.
Après nous avoir rapidement retracer l’histoire du studio, il est entré dans le vif du sujet : le portrait Harcourt.
Et le portrait de monsieur et madame tout-le-monde …
– Le maquillage qui sert, bien sûr, à préparer le modèle à la prise de vue. Mais aussi pour que le photographe apprenne à connaitre son modèle, sa physionomie, son caractère, l’intention de la séance … Pour Xavier Gary, les 3/4 du travail du portraitiste se cachent dans cette première rencontre, savoir écouter et comprendre son modèle afin de retranscrire une partie de sa personnalité.
– Ensuite il y aura la séance photo à part entière : en commençant par la lumière qui sculptera la future photo, comment mettre en valeur le modèle, accentuer ou atténuer quelques traits du visage.
La lumière Harcourt est toujours en lumière continue. Il est ainsi possible d’en suivre l’évolution, et d’en modifier l’impact. Il en faudra près de huit pour créer les contrastes nécessaires à cette image.
Seulement à ce moment, le photographe déclenchera sa prise de vue. Et bien entendu, sans jamais perdre le contact qu’il a lié avec son modèle durant le maquillage et la construction de son ambiance.

Ce fut un grand moment de modestie pour moi. Car même si techniquement je n’ai pas beaucoup appris, j’ai compris que le chemin restait long afin d’évoluer dans ma pratique du portrait.
La confirmation, si c’était encore nécessaire, est que le photographe doit savoir écouter et appréhender son environnement avoir de déclencher.
Chez Harcourt il faut pas moins de trois ans à un photographe pour maitriser les codes de cette signature incontournable.

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Fred Marie

Que faire avec la COVID ?

Que faire en ces temps de COVID et de confinements ?

Depuis un an maintenant, nous sommes tous contraints par une crise sanitaire majeure.
Cette crise devient économique pour beaucoup d’entre nous, professionnels non prioritaires et autres …
Les prospects, ou potentiels clients, se font rares, sont plus enclin à la prudence et attendent aussi des jours heureux.

Alors que devons nous faire ?

  1. Attendre nous aussi ?
  2. Se plaindre ?
  3. Appeler le banquier pour qu’il trouve une solution ?
Pour ma part, j’ai choisi d’autres solutions. Parce que bien sûr j’ai une situation presque confortable en ayant un poste à part entière en parallèle de mon activité de photographe, ce qui est un atout financier de premier ordre.
Il faut utiliser le temps qui nous est donné à améliorer le fonctionnement de notre entreprise, augmenter nos connaissances techniques, de vente, de marketing … Il faut s’adapter.
Cette idée d’adaptation sera un phénomène à prendre en compte durant cette longue période.
Cela ne m’est pas venu tout seul … Pendant mon sommeil ou au réveil un matin confiné.

J’ai passé du temps sur le Net en recherche d’inspiration, à perdre du temps justement.
Dans mes différentes lectures, des blogs ou des podcasts de photographes, je me suis rendu compte que je n’étais pas seul dans cette situation. Des centaines de personnes étaient à l’arrêt et se demandaient ce qu’elles pouvaient faire, comme moi.
Nous étions de simples entrepreneurs, et entrepreneuses, passionnés par notre métier.

Le premier conseil, qui est alors apparu, était de se former.

La formation est bien sûr une évidence, mais encore faut-il agir.

Il n’était pas question que je retourne sur les bancs de l’école, il fallait que ce soit efficace et que cela réponde à mes besoins.
Mais quels étaient mes besoins ?
La question n’est pas si simple, et les réponses encore moins …
Après plusieurs jours de réflexion, d’informations regroupées, d’idées présentées, j’ai été attiré par un photojournaliste qui présentait un livre de ses propres réflexions concernant son métier, et son approche.

Fred Marie est journaliste dans le sud de la France. Il travaille pour de nombreux journaux régionaux, et nationaux. Il leurs propose de nombreux reportages sur différents thèmes concernant l’Armée française mais aussi concernant certains sports extrêmes.

Son premier livre “Photographe stratège” est un condensé de ce que je recherchais, une synthétisation de l’idée d’entrepreneur photographe, mais pas seulement …

Cela fut la première étape de ma formation.
A bientôt pour connaitre la suite de mes recherches …

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Oeil vagabond

L’Orangerie du domaine de Mme Elizabeth

Expo photos 2021 à l'Orangerie du domaine de Madame Elisabeth

Oeil vagabond

Toute la programmation du Domaine est reportée, les expositions n’auront pas lieu cette année encore, crise sanitaire oblige.

Pour plus de renseignements:

Œil vagabond en Yvelines

Cette année encore, l’exposition “Oeil vagabond en Yvelines” n’aura pas lieu.
Au mieux cette exposition est reportée au printemps 2022, les photographes de Versailles-Images travaillent à d’autres projets à Versailles et ailleurs.
Bien sûr, je ne manquerai pas de vous en informer, mais en attendant rester en contact à l’aide notre page Facebook :
https://www.facebook.com/versaillesimages

Je vous laisse visionner mes photos sur cette page pour patienter.

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"Marche comme ton cœur te mène et selon le regard de tes yeux." Alexandra David-Néel Lieu : Zoo Safari de Thoiry

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